Les capacités d’accueil d’élèves dans des établissements
secondaires dans la ville ce sont démultipliées depuis cette rentrée scolaire
au grand soulagement des parents d’élèves mais aussi du Grand Lycée Usher
Assouan si surchargé que des amis professeurs décriaient bien leurs conditions
de travail pour l’obtention de bien meilleurs résultats !
La suite est que ces nombreux élèves, de par leurs besoins
de consommation quotidien, auront, à coup sure, un impact sur le commerce local
puisque beaucoup de commerçants témoignaient déjà, que pendant les grandes vacances,
les affaires y sont au ralenti !
Mais à coté, restera le problème récurrent d’hébergement de ceux-ci !
Avec la cherté de la vie, beaucoup de chefs de familles ne s’en
sortant pas, accepter des bouches supplémentaires à nourrir ! Ce qui
semble bien logique…
Certains tuteurs ayant vécu de décevantes expériences avec
des élèves ne souhaiteraient plus jamais les revivre car, ces jeunes, venant la
plupart du temps avec des comportements et caractères propres à eux seuls qui
indisposent souvent le généreux tuteur !
A coté de cela, la contribution de beaucoup de parents d’élèves
à la prise en charge de leurs enfants par les tuteurs pose encore un autre
problème. la vie coûtant bien chère, là ou les parents d’élèves pourraient bien
envoyer ne serais qu’un sac de riz et une sommes symbolique au tuteur comme
contribution aux charges occasionnés par leurs enfants on en trouve qui le font
une seule fois et en début d’année pour complètement oublier qu’une année
scolaire scolaire dure bien 9 mois pendant lesquels leurs progénitures doivent
manger !


Résultat : beaucoup de familles refusent d’héberger les
élèves sans tuteurs qui n’ont pour tout autres solutions que de se mettre à 2,3
ou 4 pour louer des maisons dite ENTRE-COUCHE , généralement en briques de
TERRE , banco ,qui coûtent entre 3.000 et 8.000 FCFA selon la qualité de celles-ci !
Livrés là à eux mêmes, car, il se trouve des parents
incapables d’expédier l’argent nécessaire à leur prise en charge, on assiste à
des situations bien triste…ventre affamé n’ayant point d’oreilles et sac vide
ne pouvant tenir debout ; les filles osent se « débrouiller »
comme elles peuvent quand les garçons « grouillent » de leur façon…
On n’est donc pas surpris par les nombreuses grossesses en
milieu scolaire et les multiplications des vols pendant l’année scolaire dans
la ville de GRAND LAHOU !
Une vraie problématique à laquelle autorités politiques,
parents d’élèves et responsables des lycées et collèges devraient se pencher
pour trouver les solutions idoines pour le bien être des élèves dans la vile de
GRAND LAHOU !
Constant Oryone Tresor
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